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Laissez-moi partir
le roman qui colle à l'actualité

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À travers le récit d’un jeune adulte refusant tout traitement suite à la découverte d’une  maladie incurable, l’auteur pose les questions suivantes :
  • toute mort est-elle un choix volontaire ?
  • comment amadouer le grand départ ?
  • comment ne pas réfléchir à la place de celui qui s’en va ?
  • comment s’intéresser et analyser  sa propre mort pour ne plus s’en préoccuper ?
Avec des exemples concrets issus des centaines de fins de vie qu’il a gérées, avec des exemples politiquement incorrects qu’il a travaillés dans son cabinet de psychothérapie, il répond à ses questionnements sous un angle nouveau et avec des outils de développement personnel accessibles à tous.
 
 
  
Résumé.
 
Au retour d’un séjour de plongée sous-marine en Égypte, Alexandre 24 ans, ressent les premiers symptômes d’une grave maladie.
Après les consultations médicales de bases, Alexandre est envoyé vers un spécialiste qui lui découvre une maladie incurable.  Seul traitement possible, le traitement chirurgical doublé d’un traitement chimiothérapique classique.
Alexandre durant toute sa vie a entendu les propos de son père sur le suivi de  ses malades mortellement atteints, sur leur façon d’être, leur manière de penser, leur façon de mourir, sur la prise en charge médicale plus ou moins adaptée. Son père lui avait également parlé d’une théorie : les malades pouvaient choisir leur moment pour mourir. Lui-même a été présent pour recueillir le dernier souffle de plus de 200 patients sans qu’il y ait eu une quelconque euthanasie active.
Alexandre fait un choix personnel : il refuse tout traitement et préfère écourter sa vie. Il ne veut pas subir un traitement invasif lui faisant espérer un hypothétique sursis.
Son père décide de lui enseigner des principes qu’il utilise dans ses thérapies. Verbaliser la mort, la travailler, la rendre différente, l’amadouer.
Il conduira son fils sur un chemin initiatique de la vie et de la mort en développant des concepts, travaillant des thèmes, soulevant des hypothèses.
L’espoir : l’espoir fait vivre, mais mal vivre.
La responsabilité à 100% : Nous sommes tous responsables à 100% de tous nos résultats de la vie, quels qu’ils soient.
Le lâcher-prise : sans lâcher-prise, la mort est-elle possible?
La guérison : la guérison est-elle une chimère ?
La nuance primordiale : entre  je ne veux pas mourir et je souhaite rester en vie ?
Les pulsions de mort : l’être humain sait qu’il est mortel et s‘y prépare inconsciemment et quotidiennement par la création de pulsions de mort.
Les pulsions de vie : ces pulsions  nous invitent à vivre bien et longtemps, que l’on soit serial killer ou sœur Emmanuelle.
La mort : La mort découle d’un choix conscient ou inconscient. La mort tient à une pensée. Ce thème est développé à travers des histoires vécues que chacun a eu l’occasion de côtoyer.
L’innocence. Seul traitement au cercle vicieux culpabilité-punition. Comment la gérer ?
La séparation : la gestion de la séparation. La séparation n’existe pas pour celui qui meurt.
Le devoir de tristesse. La tristesse est-elle une obligation dans l’accompagnement ?
L’accompagnement en fin de vie, les agonies, les soins palliatifs. Enseignements de méthodes simples et déculpabilisantes pour permettre aux grands malades de partir plus vite et plus sereinement.
L’euthanasie : où en est la médecine, la justice, les religions.
Le suicide : il peut être à la fois condamné et encensé, c’est selon.
La mort non envisagée. Un malade atteint d’une maladie mortelle a une espérance de vie plus importante qu’une personne en bonne santé.
Le pardon : le pardon s’entend pour soi-même. Il permet de retrouver la liberté.
Quelques outils de développements personnels permettant une prise en charge d’une personne désireuse de préparer sa fin de vie :
La raison d’être, la pensée créatrice, l’écriture de ses peurs et angoisses, l’écriture de son éloge funèbre.
Tous ces thèmes seront abordés d’une façon simple et illustrée de cas réels ou métaphoriques.
Alexandre verbalisera son mal-être et son bien-être à travers l’écriture.
Sa mère suit avec anxiété l’évolution de son fils. Elle modifie ses pensées sur la mort, elle l’apprivoise différemment.
Son père tout au long de l’histoire est un soutien sans faille et travaille sans filet. Il élabore des théories singulières, peu communes, contrariantes. Il les explique, les image, les assume. Il ose prendre des thèmes politiquement incorrects, tels que le rapt d’enfant, le viol, le serial killer, les contradictions des religions, pour étayer ses thèses.
Au cours de son travail personnel sur sa mort, Alexandre découvre une façon simple de mourir et s’y prépare. Il met tout un scénario en place pour aboutir à l’annonce à ses parents et la demande de leur approbation pour l’aider à mourir.
La fin de l’histoire parait évidente, mais un rebondissement totalement inattendu et dramatique donne un rythme jusqu’à la dernière ligne.
 
 
À qui s’adresse ce roman.
Chacun se projettera au travers de la lecture, ce livre s’adresse donc à un très large panel de lecteur.
Toute personne se questionnant sur la mort trouvera une façon de travailler son questionnement.
Tout lecteur éprouvant une peur face à la mort, découvrira le pourquoi de cette peur et la manière d’y remédier.
Les accompagnants eux-mêmes remettront en question leur façon stéréotypée d’accompagnement.
Les familles culpabilisées d’avoir manqué le départ de l’un des leurs retrouveront un soulagement voire une guérison psychologique à travers les récits d’écrits.
Toute personne à la recherche de soi-même, en thérapie, en développement personnel se retrouvera dans cet ouvrage. Des exemples simples, mais percutants mettront un terme à leurs questionnements stériles : responsabilité à 100% et tous les thèmes abordés.
Tout malade atteint d’une maladie grave et voulant gérer son départ, pourra s’y préparer et travailler ses peurs. La lecture lui permettra de trouver des personnes pouvant l’accompagner comme lui le souhaite. Il restera responsable de sa mort jusqu’à l’ultime seconde.
Toute personne voulant évoluer sur les concepts d’euthanasie active ou passive trouvera dans cet essai, matière à réflexion.
 
La lecture questionne.  Le lecteur  éprouvera le besoin de partager cette manière de pensée avec des proches ou des collègues.  Les écoutants se projetteront à travers le récit et inévitablement, de futurs lecteurs seront avides de prendre connaissance de cet ouvrage constructif et de bon sens.
 
Actuellement, je ne connais aucun roman ou essai traitant ce thème sous cet angle.
Extrait
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