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Voici la présentation de cet ouvrage pour vous donner une idée plus précise de sa construction, avec à la fin un extrait des trois premiers chapitres.
Je vous souhaite une bonne lecture.
Chaque mort est un suicide.
300 pages.
Les personnages principaux.
Un narrateur et trois personnages principaux représentés par une famille illustrent ce roman.
Le père, la mère et leur fils de 24 ans.
Le fils, Alexandre, étudiant au long court, insouciant de la vie, découvre qu’il est atteint d’une maladie incurable. Il refuse tout traitement. À travers le soutien de son père, Alexandre découvre la teneur du métier de son père et sera un acteur attentif aux concepts décrits par celui-ci.
Le père, Michel, est psychothérapeute spécialisé auprès des malades en fin de vie. Il soutient et accompagne son fils sur le chemin initiatique de la mort.
La mère, Sylvie, travaille à mi-temps en comptabilité. Elle connait les méthodes de thérapie de son mari, mais est toujours restée spectatrice de ses théories et traitements. Elle jouera au début du roman la candide voulant être initiée et comprendre les théories de son mari.
Le narrateur développe des théories et les approfondit, raconte des anecdotes, soumet des hypothèses, prend la main sur le récit pour éviter des dialogues et rend la lecture plus aisée.
Les personnages secondaires.
Le médecin traitant : il fait les premières constatations de la maladie et suivra médicalement Alexandre.
Le professeur Bernard : il diagnostique la maladie au début du roman et apportera son concours professionnel à la fin du roman.
Résumé.
Au retour d’un séjour de plongée sous-marine en Égypte, Alexandre 24 ans, ressent les premiers symptômes d’une grave maladie.
Après les consultations médicales de bases, Alexandre est envoyé vers un spécialiste qui lui découvre une maladie incurable. Seul traitement possible, le traitement chirurgical doublé d’un traitement chimiothérapique classique.
Alexandre durant toute sa vie a entendu les propos de son père sur le suivi de ses malades mortellement atteints, sur leur façon d’être, leur manière de penser, leur façon de mourir, sur la prise en charge médicale plus ou moins adaptée. Son père lui avait également parlé d’une théorie : les malades pouvaient choisir leur moment pour mourir. Lui-même a été présent pour recueillir le dernier souffle de plus de 200 patients sans qu’il y ait eu une quelconque euthanasie active.
Alexandre fait un choix personnel : il refuse tout traitement et préfère écourter sa vie. Il ne veut pas subir un traitement invasif lui faisant espérer un hypothétique sursis.
Son père décide de lui enseigner des principes qu’il utilise dans ses thérapies. Verbaliser la mort, la travailler, la rendre différente, l’amadouer.
Il conduira son fils sur un chemin initiatique de la vie et de la mort en développant des concepts, travaillant des thèmes, soulevant des hypothèses.
L’espoir : l’espoir fait vivre, mais mal vivre.
La responsabilité à 100% : Nous sommes tous responsables à 100% de tous nos résultats de la vie, quels qu’ils soient.
Le lâcher-prise : sans lâcher-prise, pas de mort possible.
La guérison : la guérison est-elle une chimère ?
La nuance primordiale : entre je ne veux pas mourir et je souhaite rester en vie ?
Les pulsions de mort : l’être humain sait qu’il est mortel et s‘y prépare inconsciemment et quotidiennement par la création de pulsions de mort.
Les pulsions de vie : ces pulsions nous invitent à vivre bien et longtemps, que l’on soit serial killer ou sœur Emmanuelle.
La mort : La mort découle d’un choix conscient ou inconscient. La mort tient à une pensée. Ce thème est développé à travers des histoires vécues que chacun a eu l’occasion de côtoyer.
L’innocence. Seul traitement au cercle vicieux culpabilité-punition. Comment la gérer ?
La séparation : la gestion de la séparation. La séparation n’existe pas pour celui qui meurt.
Le devoir de tristesse. La tristesse est-elle une obligation dans l’accompagnement ?
L’égoïsme : tout commence par nous même. À l’instar de personnages illustres comme sœur Teresa, l’abbé Pierre..., ils semaient et récoltaient du bonheur, en pensant à eux en premier. Ils n’étaient en aucune manière, égoïstes.
L’accompagnement en fin de vie, les agonies, les soins palliatifs. Enseignements de méthodes simples et déculpabilisantes pour permettre aux grands malades de partir plus vite et plus sereinement.
L’euthanasie : où en est la médecine, la justice, les religions.
Le suicide : il peut être à la fois condamné et encensé, c’est selon.
La mort non envisagée. Un malade atteint d’une maladie mortelle a une espérance de vie plus importante qu’une personne en bonne santé.
Le pardon : le pardon s’entend pour soi-même. Il permet de retrouver la liberté.
Quelques outils de développements personnels permettant une prise en charge d’un patient désireux de préparer sa fin de vie :
La raison d’être, la pensée créatrice, l’écriture de ses peurs et angoisses, l’écriture de son éloge funèbre.
Tous ces thèmes seront abordés d’une façon simple et illustrée de cas réels ou métaphoriques.
Alexandre verbalisera son mal-être et son bien-être à travers l’écriture, récits et poèmes.
Sa mère suit avec anxiété l’évolution de son fils. Elle modifie ses pensées sur la mort, elle l’apprivoise différemment.
Son père tout au long de l’histoire est un soutien sans faille et travaille sans filet. Il élabore des théories singulières, peu communes, contrariantes. Il les explique, les image, les assume. Il ose prendre des thèmes politiquement incorrects, tels que le rapt d’enfant, le viol, le serial killer, les contradictions des religions, pour étayer ses thèses.
Au cours de son travail personnel sur sa mort, Alexandre découvre une façon simple de mourir et s’y prépare. Il met tout un scénario en place pour aboutir à l’annonce à ses parents et la demande de leur approbation pour l’aider à mourir.
La fin de l’histoire parait évidente, mais un rebondissement totalement inattendu et dramatique donne un rythme jusqu’à la dernière ligne.
Pourquoi ce titre : chaque mort est un suicide.
Le sous-titre pourrait être :
la mort, un choix de vie
Il résume la pensée de l’auteur sur la mort. Celle-ci découle d’une pensée consciente ou inconsciente. Donc si nous nous faisons mourir, nous nous suicidons.
Le roman démontre cette théorie sans tomber dans le New-Age ou l’occultisme.
Construction du roman.
Ce livre est conçu d’une façon psychologique. Le but recherché est de permettre au lecteur de s’identifier aux personnages ou aux scènes décrites. Chacun projette son vécu, sa façon d’être, sa manière de penser aux détours des 36 chapitres.
Par exemple, la maladie d’Alexandre n’est jamais nommée. Et pourtant chaque lecteur y mettra un nom.
Chaque personne sur terre a pensé à la mort. Chacun d’une façon quelconque l’a vécue, côtoyée, accompagnée, fuie… Le lecteur s’identifiera obligatoirement et ressentira une émotion assez forte.
Le prénom des personnages représente les prénoms les plus usités, permettant ainsi une plus grande projection dans la lecture : chacun y appose un visage, donc de l’émotion.
Beaucoup d’idées reçues sur la mort, la médecine, la guérison, l’accompagnement des mourants, les religions, sont remises en question et l’auteur y apporte une autre vision et d’autres réponses.
L’auteur décrit et utilise plusieurs métaphores exactement comme dans une thérapie Ericksonnienne. Après la lecture, le lecteur restera imprégné, sa réflexion évoluera, il y pensera continuellement. Cette lecture le fera verbaliser, avec des proches qui eux-mêmes, liront le roman pour s’en faire une idée.
Les lecteurs trouveront dans cet essai des outils pour travailler eux-mêmes sur des peurs, angoisses, zones erronées de leur personnalité. Cet ouvrage est une aide au développement personnel.
Le lecteur trouvera également des outils d’accompagnements aux mourants : de l’accompagnement simple (que faire en présence d’un mourant) à celui permettant de mettre un scénario en place pour abréger une agonie (sans aucune euthanasie active, tout est simple et légal).
Tout le roman a comme socle des histoires vécues dans un cabinet d’infirmier libéral et dans celui d’un psychothérapeute.
Dans cette oeuvre, deux droites se croisent : une descendante, décrivant la déchéance et la mort d’Alexandre et l’autre, ascendante décrivant l’évolution des pensées sur la mort.
Le roman pose le principe de l’accès possible à sa propre mort.
Le thème de la plongée sous-marine agit comme un léger fil rouge du début à la fin du roman.
À qui s’adresse ce roman.
Chacun se projettera au travers de la lecture, ce livre s’adresse donc à un très large panel de lecteur.
Toute personne se questionnant sur la mort trouvera une façon de travailler son questionnement.
Tout lecteur éprouvant une peur face à la mort, découvrira le pourquoi de cette peur et la manière d’y remédier.
Les accompagnants eux-mêmes remettront en question leur façon stéréotypée d’accompagnement.
Les familles culpabilisées d’avoir manqué le départ de l’un des leurs retrouveront un soulagement voire une guérison psychologique à travers les récits d’écrits.
Toute personne à la recherche de soi-même, en thérapie, en développement personnel se retrouvera dans cet ouvrage. Des exemples simples, mais percutants mettront un terme à leurs questionnements stériles : responsabilité à 100% et tous les thèmes abordés.
Tout malade atteint d’une maladie grave et voulant gérer son départ, pourra s’y préparer et travailler ses peurs. La lecture lui permettra de trouver des personnes pouvant l’accompagner comme lui le souhaite. Il restera responsable de sa mort jusqu’à l’ultime seconde.
Toute personne voulant évoluer sur les concepts d’euthanasie active ou passive trouvera dans cet essai, matière à réflexion.
La lecture ne laisse pas indemne elle questionne. Le lecteur éprouvera le besoin de partager cette manière de pensée avec des proches ou des collègues. Les écoutants se projetteront à travers le récit et inévitablement, de futurs lecteurs se procureront l’ouvrage pour pouvoir en parler à leur tour.
Actuellement, je ne connais aucun roman ou essai traitant ce thème sous cet angle.
Extrait
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